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Le Niger transforme Niamey en hub événementiel

jun. 22, 2023

Aéroport, centre de conférences, hôtels : Niamey se dote de nouveaux équipements pour accueillir les conférences internationales et les voyageurs d'affaires.


Dans l’ombre du sacre viennois au sein du palmarès ICCA, et alors que chacun guettait cet atlas du MICE post-Covid, l’information est passée relativement inaperçue.


Elle est pourtant révélatrice de la montée en puissance d’une destination ambitieuse, une nouvelle venue qui compte bien se faire une place au soleil des grands événements internationaux.


Car le Niger et sa capitale Niamey ont fait leur apparition pour la première fois dans le palmarès international. Et les autorités peuvent déjà se satisfaire d’un classement régional (7e) d’autant plus honorable que le Niger n’a intégré le réseau ICCA qu’au deuxième semestre 2021.


Devançant au passage des destinations comme Nairobi, Durban ou Tunis. Une première consécration pour un pays qui, dix ans plus tôt, aurait difficilement pu imaginer pareille reconnaissance.


Tout commence en 2015. Niamey postule alors à l’accueil de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine 2019. Un événement majeur, qui pouvait à l’époque sembler disproportionné au regard des infrastructures de la capitale nigérienne. Ce défi constituera le moteur d’un plan d’aménagement XXL, qui débouchera en l’espace de quelques mois sur des inaugurations particulièrement stratégiques.


A commencer par l’ouverture à l’été 2019 d’une nouvelle porte d’entrée, l’aéroport international Diori Hamani, couplée à une nouvelle voie express facilitant l’accès depuis et vers le centre-ville de la capitale.


Autre nouveauté, et non des moindres : le Centre de Conférences Mahatma Gandhi. Au programme : une salle plénière de 2100 places, une salle banquet polyvalente (800 places), une autre “huis clos” (350 places), une salle de presse (100 places), auxquelles s’ajoutent des salons présidentiels et ministériels.


Le nouveau spot MICE vient compléter les capacités du Palais des congrès déjà existant, et entièrement rénové. L’infrastructure s’est donc offert une cure de jouvence à la veille de son quarantième anniversaire, et propose notamment une grande salle de conférence d’un millier de places, avec six cabines de traduction, quatre salles de commission, ou une salle huis clos de 425 places.


En parallèle, la scène hôtelière de la capitale est également entrée dans une nouvelle dimension. Le groupe Radisson a ainsi confirmé son rôle prépondérant sur le continent africain en inaugurant au printemps 2019 une nouvelle adresse de 189 clés.


Le Radisson Blu Hotel & Conference Center Niamey ajoute également 2800 m² d’espaces meetings & events avec huit salles de réunion et deux salles de conférence.


Autres nouveaux venus sur une scène hôtelière qui manquait cruellement d’adresses haut de gamme : l’hôtel Bravia (197 chambres, 7 salles de réunion), ou encore le Noom (141 chambres, 6 suites, 4 salles de réunion et un espace polyvalent de 470 m²).


Une nouvelle salle multifonctions de 5000 places

Autant d’inaugurations concentrées sur quelques semaines – quelques mois tout au plus -, et qui changent incontestablement la dimension de la capitale du Niger. Résultat : la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine est un succès, et Niamey semble alors équipée pour accueillir des événements régionaux.


Mais loin de marquer l’aboutissement des ambitions nigériennes, cette année 2019 ouvrira un nouveau chapitre prometteur. Car après avoir remporté cette course contre la montre, le pays se lance dans un marathon pour s’installer durablement dans la hiérarchie du MICE. Et se dote d’une organisation étatique dédiée à cet objectif, pour mettre en œuvre une stratégie multi-sectorielle ambitieuse et raisonnée : l’Agence nationale de l’Économie des Conférences (ANEC).


Le timing de la crise sanitaire aurait pu tuer dans l’œuf cette ambition naissante. Il n’en fut rien. Pendant cette parenthèse, le Niger sera donc admis en tant que membre ICCA. Et l’ANEC prépare l’avenir avec – encore – des projets en masse. Les autorités viennent ainsi de valider la construction d’une nouvelle salle multifonctions d’une capacité de 5000 places. Parallèlement, les projets hôteliers continuent de fleurir. Et le lobbying des membres de l’ANEC, en Europe comme en Chine, porte ses fruits. A l’occasion d’une “Table Ronde sur le commerce et l’investissement au Niger” organisée à Londres, le Président du Niger se félicitait ainsi : « Nous sentons un réel intérêt des investisseurs britanniques pour notre pays. Et vous avez raison : le Niger offre de réelles opportunités ».


Et le Chef de l’Etat de lister quelques-uns des atouts du pays : “une immense réserve en eaux souterraines, rendant arables 20 millions d’hectares pour des projets agro-industriels ; un grand cheptel, qui reste à industrialiser ; de l’or et du gaz, faiblement exploités à ce jour ; de l’uranium en grande quantité qui, quoi qu’on dise, reste l’avenir énergétique du monde ; du pétrole, insuffisamment exploré ; du ciment, des phosphates, etc.” Les ressources nigériennes vont en outre profiter d’un autre projet majeur : l’inauguration d’un oléoduc jusqu’au port de Sèmè Kraké, au Bénin. “A partir de la fin de cette année, notre pipeline va se mettre en route, prévoit le Directeur Général de l’Agence Nationale de l’Économie des Conférences du Niger, Mohamed Saidil Moctar.


La volonté est donc politique, les investissements privés. Et les retombées se chiffraient à la fin 2022 à plus de 44 millions d’euros (29 milliards de Francs CFA), grâce à l’organisation de 113 événements réunissant quelque 28 000 participants d’après l’ANEC. “Le Niger est en train d’attirer de grands événements de niveau international sur des sujets très importants”, confirmait Hans Fraeters, Représentant de la Banque mondiale au Niger, à l’occasion de la première édition de la Nuit de l’ANEC, en mai dernier. Il y a donc fort à parier que le prochain palmarès ICCA sera guetté impatiemment du côté de Niamey.


Source: https://www.voyages-d-affaires.com/niamey-mice-niger-transforme-evenementiel-20230621.html


16 abr., 2024
Estudo anual da consultora imobiliária Knight Frank, coloca o país em nono lugar com 3,8% de probabilidades para os clientes internacionais investirem este ano. Só em Lisboa, os preços da habitação de luxo devem subir 2,5%, ficando acima dos aumentos estimados para cidades como Nova Iorque, Paris ou Londres.
Por Antonio Carlos 10 abr., 2024
A recente publicação pela Comissão Económica para África de um relatório detalhado sobre a evolução económica e social no continente africano revela previsões optimistas para o ano de 2024. De acordo com este estudo, África deverá destacar-se ao colocar cinco das suas nações entre as economias que mais crescem globalmente. Entre estes países destacam-se particularmente o Níger , o Senegal , a Costa do Marfim , a RDC e o Ruanda , surgindo como os principais vectores desta notável expansão económica. A dinâmica de crescimento do Níger e do Senegal é em grande parte atribuída a um aumento notável no sector dos hidrocarbonetos, com um aumento significativo na produção e nas exportações. Para o Níger , este crescimento é também apoiado pela retoma da atividade agrícola e por um salto na produção de petróleo bruto, benéfico para o sector dos transportes. No entanto, deve notar-se que a economia nigerina continua sensível aos riscos climáticos e às repercussões das recentes convulsões políticas. Além disso, o Senegal está a beneficiar de um verdadeiro impulso graças ao aumento de projetos privados e de infra-estruturas. No entanto, o ambiente político continua a ser um factor a acompanhar de perto, especialmente com as eleições a decorrer em vários países africanos, o que poderá influenciar a estabilidade e o desenvolvimento económico a curto prazo. Adam Elhiraika, da CEA, destaca também a vitalidade económica da Costa do Marfim , da RDC e do Ruanda , impulsionada principalmente pelos investimentos em infra-estruturas, pelo desenvolvimento sustentado do turismo, por uma indústria mineira de sucesso e pelos frutos da diversificação económica. A RDC , em particular, deverá beneficiar da exploração de novos depósitos de petróleo e de um sector agrícola dinâmico, parte de uma estratégia nacional orientada para o aumento das despesas sociais e de investimento. Quanto ao Ruanda , o seu desenvolvimento é estimulado pelo consumo privado e pelo investimento, enquanto a Costa do Marfim beneficia de um aumento do investimento, favorecido pelas reformas do mercado e pela melhoria do ambiente de negócios. Esta dinâmica é apoiada por um consumo privado robusto, em parte graças à inflação controlada. No entanto, o relatório sublinha que, apesar destas perspectivas encorajadoras, o crescimento africano continua frágil e abaixo do seu pleno potencial. Para alcançar os Objetivos de Desenvolvimento Sustentável e as ambições da Agenda 2063, são necessários ajustamentos significativos em termos de políticas fiscais e monetárias, bem como um compromisso renovado para resolver os desequilíbrios internos e externos, a inflação e os problemas relacionados com a dívida.
20 jan., 2024
O portal da Agência para a Integração, Migrações e Asilo (AIMA) vai permitir a apresentação de pedidos de autorização de residência para reagrupamento familiar, segundo decreto regulamentar publicado em Diário da República.  O decreto regulamentar da lei de estrangeiros, publicado em Diário da República, altera a “regulamentação do regime jurídico de entrada, permanência, saída e afastamento de cidadãos estrangeiros do território nacional”. O diploma contempla as novas funções da AIMA, criada em 29 de outubro para substituir o Serviço de Estrangeiros e Fronteiras (SEF) e o Alto Comissariado das Migrações (ACM), e da GNR e PSP, que passam a ser as instituições responsáveis pelo controlo fronteiriço. “Por via do presente decreto regulamentar, procede-se à modernização e simplificação dos procedimentos administrativos com vista a garantir que a AIMA, I. P., possa instruir e decidir os processos relativos à permanência de cidadãos estrangeiros em território nacional de forma atempada e com requisitos de segurança acrescidos”, lê-se no diploma. Com este novo decreto regulamentar, será possível “disponibilizar serviços digitais no Portal AIMA, para envio, receção e pagamento dos pedidos de autorização de residência, dispensando o agendamento e a deslocação” aos locais físicos, “libertando os funcionários de tarefas sem valor acrescentado, como o tratamento do pagamento das taxas”. Brevemente, promete a AIMA, serão disponibilizados serviços digitais no portal “começando, como já foi anunciado, pelos pedidos de autorização de residência para reagrupamento familiar”. Os processos de reagrupamento familiar têm sido um dos principais motivos de queixa dos imigrantes legais em Portugal, que acusam o país de violar a própria lei e os acordos internacionais ao não dar provimento as dezenas de milhar de pedidos pendentes. Além disso, o diploma autoriza os pedidos digitais de concessão e renovação de autorização de residência e permite que esses requerimentos possam também ser feitos pelos empregadores, centro de investigação ou estabelecimento de ensino em que os imigrantes estejam incluídos. O diploma autoriza também a AIMA “a celebrar os protocolos necessários para garantir a comprovação das situações jurídicas através de acessos diretos a diversas bases de dados de instituições públicas, garantindo maior celeridade e segurança na informação”, como a “comprovação da existência de contrato de trabalho, de residência em território nacional, de inscrição e da situação contributiva regularizada junto da segurança social e da autoridade tributária, frequência de estabelecimento de ensino, voluntariado ou estágio”. Este acesso a base de dados para confirmar a informação permitirá a desburocratização dos pedidos e o processo inclui ainda o uso de certificados digitais de assinatura, como a Chave Móvel Digital. Consulte AQUI o decreto regulamentar Fonte: Noticias ao Minuto
Por Antonio Carlos 07 dez., 2023
Viana do Castelo vai ser palco dos Encontros PNAID - Programa Nacional de Apoio ao Investimento da Diáspora, iniciativa que, até à data já apoiou um total de 135 projetos, com um potencial de investimento de 155 milhões de euros. A edição de 2023 pretende reforçar estes números, e já apresentou programa.
22 out., 2023
No passado dia 6 de outubro foi publicada a Lei 56/2023, na qual se incluem alterações ao regime dos Golden Visa. Assim, a partir de 7 de outubro (data de entrada em vigor da Lei) deixarão de ser elegíveis as seguintes atividades de investimento: A transferência de capitais no montante igual ou superior a 1,5 milhões de euros; A aquisição de bens imóveis de valor igual ou superior a 500.000 euros; A aquisição de bens imóveis cuja construção tenha sido concluída há, pelo menos, 30 anos ou localizados em área de reabilitação urbana e realização de obras de reabilitação, no montante global igual ou superior a 350.000 euros. Nos termos da Lei agora publicada, apenas continuarão a ser elegíveis os seguintes tipos de investimento: A criação de, pelo menos, 10 postos de trabalho; A transferência de capitais no montante igual ou superior a 500.000 euros, que seja aplicado em atividades de investigação desenvolvidas por instituições públicas ou privadas de investigação científica, integradas no sistema científico e tecnológico nacional; A transferência de capitais no montante igual ou superior a 250.000 euros, que seja aplicado em investimento ou apoio à produção artística, recuperação ou manutenção do património cultural nacional; A transferência de capitais no montante igual ou superior a 500.000 euros, destinados à aquisição de partes de organismos de investimento coletivo não imobiliários, que sejam constituídos ao abrigo da legislação portuguesa, cuja maturidade, no momento do investimento, seja de, pelo menos, cinco anos e, pelo menos, 60% do valor dos investimentos seja concretizado em sociedades comerciais sediadas em território nacional (aqui se incluindo os fundos de investimento ou fundos de capital de risco); A transferência de capitais no montante igual ou superior a 500.000 euros, destinados à constituição de uma sociedade comercial com sede em território nacional, conjugada com a criação de cinco postos de trabalho permanentes, ou para reforço de capital social de uma sociedade comercial com sede em território nacional, já constituída, com a criação de pelo menos cinco postos de trabalho permanentes ou manutenção de pelo menos dez postos de trabalho, com um mínimo de cinco permanentes, e por um período mínimo de três anos. Como vem realçado naquele diploma legal, as atividades de investimento acima indicadas não se podem destinar, direta ou indiretamente, ao investimento imobiliário.
24 set., 2023
Foram 746 os portugueses que, em 2022, entraram nos Estados Unidos da América (EUA), segundo os dados do US Department of Homeland Security.
20 set., 2023
A Autoridade Tributária e Aduaneira (AT) tem conhecimento de que alguns contribuintes estão a receber mensagens de correio eletrónico supostamente provenientes da AT referentes uma eventual declaração de rendimentos, nas quais é pedido que se carregue num link. Exemplo das mensagens:
Por Antonio Carlos 15 set., 2023
Burlas com falsos investimentos em criptomoedas já lesaram milhares de pessoas em Portugal. Assista aqui à intervenção do Advogado do Escritório LEGACIS António Delgado na reportagem que foi transmitida hoje, dia 15, no programa TVI Jornal. 
12 set., 2023
A tendência de crescimento das insolvências empresariais em Portugal manteve-se no segundo semestre de 2023, com julho a registar um aumento de 23% e com agosto a registar uma subida superior a 116%, em relação aos períodos homólogos de 2022, indicam dados do INE. O panorama empresarial em Portugal tem enfrentado desafios sem precedentes nos últimos anos, com um aumento significativo do número de insolvências em comparação com o ano de 2022. Segundo dados recentes do Instituto Nacional de Estatística (INE), Portugal registou um aumento de 25% nas insolvências empresariais no primeiro semestre de 2023, em comparação com o mesmo período do ano anterior. No início do segundo semestre, as insolvências mantiveram a tendência de crescimento, em termos homólogos, com o mês de julho a registar um aumento de 23% nestas ações, em relação ao mesmo mês do ano passado. Em agosto, o cenário agravou-se e as insolvências apresentaram um aumento superior a 116%, face a agosto de 2022, traduzindo-se num valor absoluto de 2.485 insolvências. Os dados indicam que, tal como se tem verificado desde o início do ano, são as micro e pequenas empresas - com um volume de negócios inferior a 500 mil euros - que continuam a registar o maior número de insolvências. Em termos geográficos, Lisboa e Porto são os distritos que apresentam o maior número de casos: 566 e 546, respetivamente. Os setores de atividade com aumentos nas insolvências face a 2022 são: Transportes (+14%); Outros Serviços (+13%); Agricultura, Caça e Pesca (+7%); Construção e Obras Públicas (+4,3%); Comércio a Retalho (+2,9%); Indústria Transformadora (+2,6%) e Hotelaria e Restauração (+2,3%). 
05 set., 2023
Segundo dados do Office Fédéral de la Statistique , em 2022 entraram na Suíça 9.948 portugueses. O departamento oficial de estatística contabilizou um total de 169,055 entradas de estrangeiros em território suíço naquele ano, representando os portugueses 5.9% desse total. Após o ligeiro aumento registado em 2021 (1.8%), a emigração para a Suíça cresce exponencialmente em 2022 (29.6%) atingindo quase as dez mil entradas. Desde 2016 que o número de portugueses entrados na Suíça não era tão alto. Apesar do crescimento registado em 2022, a tendência recessiva dos últimos anos traduziu-se numa perda relativa de importância da imigração portuguesa: se em 2013 os portugueses representaram 12% das entradas de migrantes na Suíça, em 2022 representavam apenas 5.9%. FONTE: Observatório da Emigração- http://observatorioemigracao.pt/np4/9354.html
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